Bêta lecture – chronique – service presse

N’écoute pas maman pleurer de Léna Beymond

Dans un premier temps, je remercie les éditions Chambre Noire pour l’envoi numérique de ce service presse.

Nous retrouvons cette fois, un thriller psychologique prenant et bien manié.

Le suspense reste présent tout au long de la lecture, l’auteure nous ballade là où elle a envie et nous retourne le cerveau avec les nombreux rebondissements qui nous font passer d’un coupable à un autre.

Les chapitres sont courts ce qui rend la lecture haletante.

Il n’y a pas vraiment de temps morts, on ne s’ennuie pas. La plume est fluide, facile à lire, addictive et bien menée.

La psychologie des personnages est bien décrite. On s’attache assez à ceux-ci. Coup de cœur pour Susie, même si elle est peu présente au final dans cette histoire et pour Sharon qui a du tenir le cap face aux multiples révélations.

Une belle découverte.

L’avez-vous lu? avez-vous envie de le lire?

Résumé:

Un homme que tout accuse qui clame son innocence. Une jeune avocate sans expérience pénale. Deux destins mystérieusement liés au-delà des apparences.

Sharon, une avocate dans un cabinet sans envergure, est désignée par un homme étrange accusé du meurtre de deux enfants. Ce dernier clame son innocence sans en démordre, mais lorsqu’un troisième enfant est découvert selon ses instructions, séquestré dans le coffre d’une voiture, la police ne croit plus à son discours.

Intriguée, Sharon Sorensen traverse le pays pour tenter de défendre ce Peter Mathews que tous les indices désignent comme le coupable. Elle se demande pourquoi cet homme l’a choisie elle pour le défendre, mais quand la police retrouve des photos dérobées de Sharon parmi des clichés des enfants disparus au domicile du suspect, ses doutes et ses craintes ne font que s’accroître.

Qui est réellement cet homme et pourquoi avoir choisi Sharon dans cette affaire impossible à défendre ?

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