Bêta lecture – chronique – service presse

Le temps d’un vœu de Gaëlle Ausserré.

Alerte pépite 🥰🥰🥰

L’auteure va nous retracer dans ce roman un fait historique, la guerre 40-45 mais sur le territoire allemand.

Les personnages sont fictifs mais les faits sont réels hormis quelques petites choses. J’admire déjà le travail de recherche pour nous décrire au mieux, ce passage de l’histoire.

J’ai littéralement été embarquée par ce roman poignant et j’ai suivi l’histoire de Helma, résistante allemande.

La plume de l’auteure est fluide, émouvante, poignante, très recherchée, addictive.

Les personnages et les paysages sont tellement bien décrits. J’ai très bien visualisé les bombardements, les rapts de la gestapo, l’angoisse, la peur, l’espoir, le courage, ….

Helma est tellement forte, résignée, courageuse.

Ce livre relate l’histoire allemande après avoir fait des recherches approfondies et est un bel hommage aux femmes mais pas que. Ce roman est bouleversant et marquant (prévoyez la boite de mouchoirs) !

Je conseille ce livre bien évidemment pour se souvenir de ces moments de l’histoire qu’on ne peut pas oublier.

L’avez-vous lu? si non, il est encore temps de remédier à cela 😂

Résumé:

Juin 1946. Au cœur de l’Allemagne vaincue, Helma s’apprête à épouser Franz. Sa vie bascule lorsqu’elle reçoit une lettre de France, écrite peu de temps avant la fin de la guerre. Les mots qu’elle y découvre la ramènent à une promesse faite dans le chaos d’alors. Le souvenir de ses combats livrés dans l’ombre ressurgit.
À l’automne 1943, Helma est de plus en plus troublée par la vision du monde que le Reich lui impose. Quand le voile qui l’aveugle se déchire, elle prend conscience de la face la plus sombre du régime. Plutôt que de détourner le regard, elle choisit de lutter aux côtés de ceux qui refusent le nazisme.
Contrainte de mener une partie de son existence dans la clandestinité, l’étau se resserre cependant autour d’elle. Comment conjurer la peur et la menace qui rôdent quotidiennement ? À quoi se raccrocher dans un pays où le simple fait d’aimer ou de penser devient un crime ?
L’espoir ne tient peut-être qu’à un vœu formulé en secret un jour d’été…

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