Bêta lecture – chronique – service presse

Maison d’édition: Seuil

Nombre de pages: 266

🧡Coup de coeur 🧡

C’est les yeux plein de larmes que j’écris cette chronique car wouaw que ce récit est bouleversant, beau, poétique.

Nous allons suivre l’histoire d’Alma, épouse d’Otto ancien horloger, elle vit seule dans la maison avec une mémoire qui fait des siennes, Alma n’est pas toute jeune mais elle ne se souvient plus de son âge. Une amitié va se créer avec un petit garçon et sa chienne qui viendrons lui rendre visite quotidiennement jusqu’au jour où ce petit garçon ne viendra plus (il faudra le lire pour savoir).

Alma n’a pas eu la vie facile avec son époux mais qu’elle aimera par-dessus tout.

La plume de l’auteure est fluide, facile à lire, poétique, émouvante, addictive.

Les chapitres courts apportent un rythme, on tourne ces pages inlassablement pour connaître la suite de l’histoire de cette douce Alma.

Je suis passée du rire (par les petites notes d’humour) aux larmes par le côté poignant de cette histoire. La psychologie des personnages est parfaite. Qu’est-ce qu’on s’attache à eux. J’avais tellement envie de tenir la main d’Alma pour l’accompagner dans son quotidien.

La fin est juste incroyable, émouvante, époustouflante. Si vous êtes comme moi, prévoyez la boite de mouchoirs à portée! Les émotions sont tellement bien ressenties.

En résumé, je conseille ce livre, émouvant, poétique, époustouflant et tellement beau !

C’est sans aucun doute un coup de coeur.

Résumé:

Alma vit seule. Elle ne sort plus. Son mari est mort, leur fille a été tuée par un chauffard à l’âge de six ans. Elle se débrouille malgré son grand âge et sa mémoire qui lui échappe. Les jours s’écoulent tout doucement.
Jusqu’à ce qu’elle aperçoive un petit garçon et son chien par la fenêtre. Elle guette leur passage : quelque chose à attendre. Puis son envie de les inviter supplante sa peur du monde extérieur. Le
petit garçon finit par entrer et une douce amitié se noue entre ces deux êtres esseulés.
Ces visites quotidiennes stimulent les souvenirs d’Alma : la plage avec sa petite fille, une soirée dansante avec son mari, l’accident qui rendit ce dernier irascible, le mauvais tour qu’elle lui a joué au point de le faire sortir de ses gonds. Leur ultime altercation.
Avec sa finesse psychologique et sa subtilité habituelles, Ane Riel raconte la vengeance d’une femme écrasée sa vie entière par celui qu’elle ne cessa pourtant jamais d’aimer. Dans ce conte à la lisière du
réalisme magique, touchant et émaillé d’humour noir, elle allie merveilleusement l’ombre à la lumière.

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