Bêta lecture – chronique – service presse

La cave aux poupées de Magali Collet.

Quel plaisir de retrouver la plume de Magali Collet, elle est addictive, glauque, noire, extraordinaire, bref j’adore.

Dès le premier chapitre on entre dans le vif du sujet, pas de blabla inutile et ça j’adore. Dès les premières pages, on sait déjà que ce roman sera impossible à lâcher avant la fin, je l’ai donc commencé hier soir et je me suis laissée quelques pages pour ce matin, histoire de faire durer le plaisir (ma santé mentale va bien si je peux vous rassurer 🤣)

Les thèmes sont durs, viol, séquestration, meurtres, …. âmes sensibles s’abstenir !

Le texte est sans fioriture, on se retrouve immergé dans cette histoire en compagnie de Manon, Camille, Rachel, le Père, … on est enfermé dans cette ambiance lourde, oppressante. On retrouve un brin d’air lors du point final de ce roman qui ne laisse aucun répit.

Encore une fois, j’ai été bluffée par l’écriture de cette auteure et je continuerai bien sûr à lire ses autres romans.

Vous aimez les récits glaçants qui ne laissent aucun répit? il faut absolument lire celui-ci.

Résumé:

Manon n’est pas une fille comme les autres, ça, elle le sait depuis son plus jeune âge. En effet, une fille normale ne passe pas ses journées à regarder la vraie vie à la télé. Une fille normale ne compte pas les jours qui la séparent de la prochaine raclée monumentale… Mais, par-dessus tout, une fille normale n’aide pas son père à garder une adolescente prisonnière dans la cave de la maison.

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