Bêta lecture – chronique – service presse

La reine du noir de Julia Bartz.

Maison d’édition: Sonatine éditions

Genre: thriller

Pages: 447

Dans ce thriller en huis clos, nous allons suivre Alex, jeune éditrice et fan de Roza Vallo, romancière. Quand l’opportunité d’un séminaire d’un mois avec son idole à Blackbriar lui est proposé, elle n’hésite pas une seconde et accepte. Elles seront en tout 5 romancières à faire partie de l’aventure. Tout se passe bien, jusqu’à la disparition de l’une d’entre elles et c’est là que la partie thriller commence.

Le bémol pour moi est la longueur de mise en place des personnages, je dirais environs 50% du livre mais une fois arrivé à la première disparition ce roman devient carrément addictif et fait oublier ces longueurs.

J’ai adoré l’ambiance glauque, oppressante de ce manoir au milieu de nul part coupé de tout et en pleine tempête de neige! Je me suis surprise à sursauter en lisant 🤣

L’auteure a mis un point d’honneur à la psychologie des personnages et adore nous triturer les neurones et nous retourner le cerveau. Qui est qui? qui est coupable de quoi? qui ment? qui dit la vérité? tout se mélange, tout est possible !

La plume est addictive, j’ai lu ces 447 pages en 2 jours, psychologie, sombre, fluide. On a l’impression qu’elle sonde le tréfond de l’âme humaine 😅

Et alors gros coup de coeur pour cette couverture ultra magnifique, en relief, brillante, parfaite quoi !

Hormis ces longueurs du début vite oubliées par ce récit carrément addictif, je vous conseille ce livre si vous aimez les huis clos angoissants, de mon côté j’ai adoré.

Résumé:

Bienvenue à Blackbriar !
Pour beaucoup de lectrices, Roza Vallo est une romancière de génie, et peut-être plus encore, une sorte de gourou. Grâce à elle et à son livre La Langue du démon, nombre de jeunes filles et de femmes ont cessé de se considérer comme de petites créatures fragiles pour explorer leur côté sombre, pulsionnel, sexuel. Aussi, quand la grande prêtresse du roman d’horreur féministe décide d’offrir à cinq jeunes femmes un séminaire d’écriture dans son manoir de Blackbriar, isolé au milieu des monts Adirondacks, les candidatures affluent-elles. Peu importe que Vallo soit une figure controversée et que l’endroit traîne une sinistre réputation. Lorsqu’elle est sélectionnée, Alex, une jeune éditrice, y voit la chance de sa vie. Mais quand Roza Vallo décide d’instaurer une compétition acharnée, les tensions sont rapidement exacerbées entre les concurrentes. Jusqu’au jour où l’une d’entre elles disparaît…

Cinq femmes enfermées dans un manoir isolé, jouets d’une romancière manipulatrice… Avec La Reine du noir, Julia Bartz signe un huis-clos haletant, gothique et féministe – bref, le cocktail parfait !

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