Bêta lecture – chronique – service presse

Maison d’édition : Mera éditions

Genre : Thriller fantastique

Pages : 351 (sur liseuse)

Dans ce roman, nous allons suivre Bruno qui vit dans un orphelinat et tout ne se passe pas bien pour lui là-bas, harcèlement et bien d’autres. Avec son seul ami Nino, ils vont passer l’été dans une riche famille des environs mais c’était sans compter sur les faits étranges au sein de cette demeure !

J’ai eu un peu de mal avec ce livre, entre passé et présent, entre réalité et fantastique, je m’y suis par moment perdue et du coup cela m’a semblé long.

Hormis cela, la plume est fluide, belle, immersive. Les personnages sont bien décrits. Je me suis beaucoup attachée à Bruno et Nino.

L’ambiance est lourde et oppressante dans cette maison. J’ai bien aimé le côté psychologique des personnages.

Avec la plume immersive de l’auteur, j’ai eu l’impression de voir la maison, l’orphelinat, les paysages, d’y être, de ressentir les émotions.

C’est donc un avis mitigé mais cela reste néanmoins très bien écrit, il n’était tout simplement pas fait pour moi et cela arrive.

Dans tous les cas, si vous aimez le thriller couplé au fantastique, je vous recommande ce livre sans hésitation.

Résumé :

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Bruno, treize ans, vit dans un orphelinat près de Salerne, et est soumis au harcèlement constant de ses camarades. Seule son amitié avec Nino, le petit nouveau qui prend sa défense, parvient à rendre son séjour dans l’institution supportable. L’été apporte un vent de liberté et Bruno et Nino sont choisis pour travailler chez les Aloia, une riche famille des environs. C’est là que Bruno rencontre Caterina, une étrange petite fille qui vit au dernier étage de la maison et qui lui fait découvrir les recoins de l’imposante bâtisse. Mais le jeu prend vite une tournure sinistre : Bruno commence à être tourmenté par d’inexplicables cauchemars, qui le laissent exténué à son réveil. La mise au jour, dans la propriété d’Aloia, de plusieurs cadavres en état de décomposition avancée jette un voile inquiétant sur la villa et ses habitants. À qui appartiennent ces corps ? Et pourquoi tout le monde semble savoir quelque chose que personne ne veut révéler ?
Cette histoire est celle d’une amitié, de souvenirs brisés et d’un tueur brutal qui se nourrit de la peur de ses victimes. C’est l’histoire de Bruno, et de l’été où il est devenu l’Homme sans Sommeil.

Une réponse à « L’homme sans sommeil de Antonio Lanzetta. »

  1. Avatar de Hedwige

    Comme je l’ai lu récemment je plussoie ce que tu en dis et j’ai eu le même sentiment de perdre pied et néanmoins d’être dans un thriller non sans qualités.
    Merci pour ta belle chronique, Julie 🙂

    Aimé par 1 personne

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