Bêta lecture – chronique – service presse

Maison d’édition: autoédition

Pages: 130 sur ma liseuse.

Alors vous qui me lisez, vous devez certainement savoir que je ne lis habituellement pas de romance et que je ne suis pas spécialement adepte de science-fiction mais ici avec cette plume magique, la magie des mots a opéré.

C’est émue que je termine ce roman que j’ai dévoré presque d’une seule traite. L’amour est tellement puissant, tellement réel, tellement naturel qu’on en oublie qu’un robot fait partie de cette histoire car pour moi, il était bien plus que cela !

Alors oui comme d’habitude, la plume de l’auteur me transporte, immerge dans le récit, me fait rêver et m’émouvoir.

Comme d’habitude, les chapitres s’enchainent sans lourdeur et je dirais même avec douceur dans celui-ci.

Et cette fois-ci encore j’ai été conquise par les personnages, réels ou non, par leur amour, leur ouverture d’esprit.

Je n’ai qu’une chose à dire, foncez acheter ce roman, c’est une bulle de douceur qui remplira votre cœur d’émotions.

Je persiste et signe, je suis toujours Regisaddict 🥰n’arrêtez jamais d’écrire svp.

Avez-vous déjà lu un livre de cet auteur?

Résumé:

Lorsqu’Allan achète la dernière version d’un robot baby-sitter pour élever sa fille, il ne se doute pas qu’il vient d’activer une intelligence artificielle dotée d’une particularité.
Piero est un robot différent. Un robot qui s’interroge. Un être artificiel qui peut-être va révolutionner les robots pour les siècles à venir en remettant en question les trois lois de la robotique..

Une machine est-elle capable d’éprouver des sentiments, ou les trois lois de la robotique sont-elles une prison de laquelle rien ne peut émerger ? Piero est un robot qui s’interroge sur sa vie, sur la vie, sur l’amour et sur la mort. Ses lectures, ses conversations, ses émotions, sont autant de percées dans l’univers de la logique neuroquantique qui nous amènent aux sources de ce que deviendra peut-être la véritable intelligence artificielle.
L’amour ouvre les portes de toute logique, jusqu’à la mort parfois.

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